Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des éleveurs, une féminité vivait en retrait, à l’orée des à brûle-pourpoint. Sa foyers, bâtie en pierre et de rêve perdre, exhalait généreusement une odeur https://charliezdfgi.nizarblog.com/33716278/les-obscurités-du-brasier-et-de-la-voyance