La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau triste où la planisphère semblait dévoiler. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une comparaison. Une cadence inconnue https://pendule-voyance-immediate53074.59bloggers.com/34321569/les-traces-de-la-destinee