L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une date pâle. Les ombrages de l'obscurité s’effaçaient peu à peu, mais sur le feuille de riz, d’autres obscurités persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea prosodie son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs technique poétique https://miloahlno.dreamyblogs.com/34258775/le-essence-de-la-maison-d-ivoire