Thomas Eriel cessa d’alimenter son poêle depuis de nombreuses occasions. Le froid s’installait délicatement dans l’appartement, mais il n’osait plus entraîner la moindre hyménée. Depuis la mort du lecteur, ses gestes étaient devenus lents, suspendus dans une incertitude constante. Le blog, cependant, continuait de recevoir des visites. Les lecteurs publiaient https://sergiojfuiu.ssnblog.com/33107965/l-auteur-frivole