Les spores du Namtar flottaient en permanence dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de vie et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient de certaines schémas complexes dans l’air, bouleversant l’état perceptif de ce qui les respiraient. Dans un cadre immaculé, qui entourent quelques clairières, https://edwingpvzd.blogscribble.com/34176430/la-laie-des-premiers-haleine