Dans un petit cabinet localisé en périphérie de marseillan, une acupunctrice pratiquait son art sur plus de dix années dans une discrétion omnipotente. Les murs en fin nettoyé, l’odeur d’huiles majeures et le calme constant formaient l’écrin idéal pour tous les séances chaque jour. Jusqu’au jour où, en plantant une https://zionmdnwe.dm-blog.com/34114711/le-cÅ-ur-des-aiguilles