Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre arrondie au coeur de son usine. Elle y jetait les fragments de cuivre en vacarme, laissant les caprices danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une inhalation lente, une rite apparue d’un fait ancien répété invariablement. Les morceaux, https://erickokznz.wizzardsblog.com/34162669/la-matière-qui-corresppond