Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre circulaire au milieu de son ateliers. Elle y jetait les articles de cuivre en silence, donnant les désirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une souffle lente, une automatisme parvenue d’un fait ancien répété incessamment. Les morceaux, https://judahmdrft.blog2learn.com/81915158/les-lignes-qui-persistent